Ces hommes découvrent qu’ils ne sont pas les vrais pères

Selon les statistiques médicales, 30% des tests de paternité, auprès d’hommes ou d’enfants ayant eu un doute sur leur lien de parenté, révèlent que le père biologique n’est pas le véritable. Toutefois, les statistiques indiquent également que, sur un panel plus grand de femmes enceintes ayant décidé de faire un test de maladie génétique, seulement 2% des enfants ne sont pas issus du vrai père. À noter que dans ce cas précis, les femmes enceintes ayant un doute sur la véritable identité du père ne feront pas de test génétique et n’apparaîtront pas dans les statistiques.

Donc officiellement, la France, et ses 67 millions d’habitants, comporteraît au moins 2% de la population n’étant pas issue du véritable père soit 1 340 000 personnes. Officieusement, je pense que l’on peut doubler ou tripler le taux et que l’on est plutôt autour de 4 ou 6%, ce qui doit faire environ entre 2 600 000 à 4 millions de personnes dont le père n’est pas le véritable.

Alors pourquoi je m’avance à doubler ou tripler le chiffre ? Tout simplement, car en ayant une expérience très avancée des femmes à travers mon activité d’Escort Boy et connaissant très bien leurs vices, je peux vous dire que j’ai rencontré plus de femmes infidèles que fidèles, sans compter celles qui m’ont demandé que je leur fasse un gosse en me promettant de disparaitre après. Chose que bien entendu, je refusais. Bref, d’après mes observations sur le terrain, je vous garantis que si on faisait des tests de paternité obligatoires à l’échelle nationale, le taux des pères non biologiques serait beaucoup plus élevé que le taux avancé officiellement.

Bon que dire de cette pute, car je crois qu’on peut l’appeler ainsi. Mme Sehr a fait croire que cet homme était le père de son enfant pour obtenir de l’argent à travers une pension. L’homme n’y croyant pas, il ne s’est pas présenté à une audience et s’est retrouvé immédiatement en prison. La femme connaissait l’identité du vrai père, mais cela ne lui a posé aucun problème d’envoyer un innocent en prison pendant 5 ans. Et pour mener à bien son plan machiavélique, elle a fabriqué une fausse preuve de paternité dans un laboratoire dans lequel elle a travaillé. On notera à la fin du jugement, après que la supercherie soit révélée par la juge, que Mme Sehr ne fait preuve d’aucun remords et c’est l’homme qui va réconforter le fils de celle qui a détruit sa vie.

Dans ce jugement, on fait connaissance de la charmante Mme Bodine et du pauvre Mr Bernning. On a un Monsieur qui apprend par SMS qui ne serait peut-être pas le père d’un de ses enfants, mais qui passe outre cette information. Toutefois, les tourments le rattrapent et il veut finalement connaître la vérité. Très affecté par la situation, il bégaye et tremble de manière incontrôlable. De l’autre côté, on aperçoit une femme sûre d’elle et qui ment sans sourciller. Les résultats des tests de paternité tombent et non seulement le second enfant n’est pas le sien, mais le 1er non plus. C’est la double peine.

Et quand la juge demande à Mme Bodine qui pourrait être le ou les pères, celle-ci ne sait pas en sous-entendant qu’il y aurait eu beaucoup d’amants. Vous noterez également l’absence d’émotion ou de remord sur le visage de Mme Bodine. Cette affaire aura révélé la véritable nature de cette mère de famille ainsi qu’un homme prêt à surmonter cette trahison et à s’occuper de 2 enfants nés des amants de sa femme.

Extrait vidéo de 17:21 à 21:54

Concernant l’affaire Mme Englund et Mr Kiser, l’histoire se répète une fois de plus. Elle nie jusqu’au bout en pensant probablement que si elle a couché avec plusieurs hommes durant la même période, il y a quand même une probabilité pour que Mr Kiser soit le père de son enfant. Alors elle tente sa chance, jusqu’à ce que les résultats ADN tombent et affirment l’inverse.

Extrait vidéo de 00:00 à 02:12

Pour cet autre cas, on nous présente une jeune femme très sûre d’elle, qui a dû avoir des rapports sexuels avec plusieurs partenaires durant la même période, et qui prétend que le jeune homme fuit ses responsabilités de futur père. Drew est donc présenté comme le méchant de l’histoire, jusqu’à ce qu’une preuve scientifique démasque cette nouvelle supercherie. L’arrogance de la jeune femme fait place aux pleurs et à la honte, tandis que le jeune homme fait preuve de fair-play et part consoler la jeune femme qui trichait.

Extrait vidéo de 15:14 à 23:36

Alors là c’est le bazar total. Non seulement la mère présente à sa fille son amant sous une fausse identité d’oncle, mais en plus, ni le père, ni l’amant n’est le père biologique d’aucun des 2 enfants. Une nouvelle fois, la mère ment jusqu’à la dernière seconde, et ne fait preuve ensuite d’aucun signe d’empathie envers ses enfants. C’est le mari, qui n’est finalement pas le père biologique, qui fait preuve d’amour, de compassion et de soutien envers les enfants.

RÉSUMÉ EN FRANÇAIS

Si vous n’êtes pas familiarisé avec l’anglais, voici une vidéo reprenant tous les extraits sous-titrés en français.

En France, les médias et les féministes extrémistes vous présentent toujours les hommes comme les méchants de l’histoire, qui n’aiment pas leurs enfants ou fuient leurs responsabilités et où les femmes sont constamment les victimes innocentes. Maintenant, cette vidéo vous a révélé une autre facette de la réalité avec des femmes dont le vice ne connaît aucune limite et des hommes qui sont prêts à prendre toutes les responsabilités. Quant à ceux et celles qui veulent en découvrir plus sur les Putes de compétition, je vous invite à consulter la chaîne YouTube américaine Paternity Court.